En présence du Roi Mohammed VI, 9 conventions relatives au financement, à la construction et à l’exploitation de la 1re centrale du Complexe solaire d’Ouarzazate ont aujourd’hui été signées à Marrakech. The Moroccan Agency for Solar Energy a d’ailleurs contractualisé, en présence de l’Office National de l’Eau et de l’Électricité, le contrat d’achat et de fournitures d’électricité pour ce projet titanesque et ce, pour une durée de 25 ans. Pour rappel, le plan solaire marocain ambitionne la mise en place d’une capacité de production de 2.000 mégawatts, soit 38% de la puissance installée à fin 2008, et 14 % de la puissance électrique d’ici 2020.
Source : www.le20heures.ma
Othman Benjelloun, PDG de la BMCE Bank et Président du Groupement Professionnel des Banques du Maroc, a été élu ce week-end vice-Président de l’Union des Banques Arabes. La 11e réunion de cette Union, tenue vendredi dernier à Beyrouth, a été marquée par la réélection de Joseph Torbey, PDG du Crédit Libanais et Président de l’Association des Banques du Liban, Président de l’UAB. Par ailleurs, El Hadi Chaïbaïnou, Directeur général du GPBM, a été élu membre du Conseil d’administration de l’UAB et ce pour un mandat de 3 ans.
Source : www.le20heures.ma
Dans un recueillement propre aux grands moments de notre histoire, le peuple marocain célèbre, ce dimanche 18 novembre, le 57e anniversaire de l'Indépendance du Royaume, évènement qui revêt une signification profonde, en ce sens qu'il incarne la volonté commune du Trône et du peuple de défendre les valeurs nationales.
En pareil jour, le 18 novembre 1955, Feu S.M Mohammed V, déclarait dans un discours à la fois historique et émouvant : "Nous nous réjouissons de pouvoir annoncer la fin du régime de tutelle et du protectorat et l'avènement de la liberté et de l'indépendance".
Cette déclaration, intervenue après le retour d'exil de la famille Royale, a été pour le peuple marocain une source de motivation et a engagé la Nation tout entière dans l’effort d'édification d'un Maroc émancipé et libre, moderne et démocratique.
La célébration de cet anniversaire de l'Indépendance constitue donc à la fois une occasion pour se remémorer cette grande épopée dont l'aboutissement a été le fruit d'énormes sacrifices et pour jauger le chemin parcouru depuis lors ainsi que les réalisations accomplies par notre pays sur la voie du progrès et du développement. Elle permet également de maintenir vivace cette volonté inébranlable qui s'est cristallisée autour des idéaux de liberté et de justice cultivés dans une parfaite symbiose par le Trône et le peuple, engagés depuis lors dans l’œuvre de construction d'un Maroc moderne, démocratique, économiquement fort et ayant parachevé son intégrité territoriale.
Le 18 novembre est aussi l'occasion de rendre un vibrant hommage aux héros de la Nation qui ont fait sacrifice de leur vie pour que le Maroc recouvre son indépendance et s’engage sur la voie du progrès et du développement économique et social.
Il offre aussi l’occasion de se remémorer les moments difficiles durant lesquels le peuple a manifesté son indéfectible attachement à Feu S.M Mohammed V qui n'a jamais baissé les bras ni accepté d'autres alternatives que celle de voir le Royaume recouvrer ses droits légitimes pour faire partie du concert des Nations en tant qu’État fort, développé, moderne et démocratique.
Source : www.libe.ma
En 2010, 67.000 Marocains se sont vu octroyer la nationalité de l'un ou de l’autre des États membres de l'Union européenne, soit 7,1% de plus qu'en 2009 (59900 personnes), selon un rapport d'Eurostat, l'Office statistique de l'Union européenne. Par pays, les nouveaux naturalisés belges, français, italiens, et néerlandais étaient majoritairement Marocains avec respectivement 21,3%, 19,3%, 17,2% et 22,1%. En Espagne, les Marocains sont seulement arrivés à la troisième place après les Équatoriens (34,8%) et les Colombiens (19,4%). Au niveau européen, les naturalisés d’origine marocaine sont respectivement suivis par les Turcs avec 49.900 personnes, les Équatoriens (45.200), les Indiens (34.700) et les Colombiens avec 27.500. En 2010, les Marocains s’étaient accaparé la première place avec 8,3% des naturalisations. Idem en 2009 et 2008, avec respectivement 59.900 et 64.000 personnes naturalisées. Les pays qui ont accordé le plus grand nombre d'octrois de nationalité en 2010 sont le Royaume-Uni (195.000), la France (143.000), l'Espagne (124.000) et l'Allemagne (105.000), représentant ensemble 70 % du total des nationalités octroyées au sein de l'UE. En tenant compte de la population totale de chaque État-membre, les taux les plus élevés d'octroi de nationalité ont été constatés au Luxembourg (8,6 octrois de nationalité pour 1.000 habitants), en Suède (3,5), en Belgique (3,2) et au Royaume-Uni (3,1). Parmi les États-membres où les octrois de nationalité ont été les plus élevés, le Royaume-Uni en a accordé le plus grand nombre aux Indiens (15 %), alors qu'en France, les Marocains ont occupé le haut du pavé (19 %), en Espagne, les Équatoriens ont fait de même (35 %) et en Allemagne, les Turcs ont occupé la première place (25 %). Il est à signaler que les statistiques concernant la France sont antérieures à l’adoption de la nouvelle loi sur la nationalité entrée en vigueur en janvier 2012 qui interdit aux personnes naturalisées d’avoir la double nationalité et qui les oblige à signer une Charte des droits et des devoirs.
Source : www.libe.ma
La célèbre marque italienne, Piaggio, se place sur le marché marocain. Mercredi dernier, la DIMAC a lancé la commercialisation de trois modèles de véhicules utilitaires : l'APE 50, icône de la marque, l'APE TM et l'APE Classic.
Dotée de motorisations essence (50 cc ou 218 cc) et diesel (422 cc), la gamme APE peut transporter jusqu'à 800 kg de charge utile. Sa conception est adaptée à tous types d'utilisation : sandwicherie, caissons isothermes pour le transport de produits alimentaires, distribution de biens de consommation courante et même ramassage des déchets. “Les caractéristiques techniques associés à des prix très compétitifs en font, sur le segment des véhicules utilitaires, une des gammes les plus intéressantes et performantes du marché.”
JOAQUIN ENNENBACH, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA DIMAC.
Considéré comme un des outils de développement de l'entrepreneuriat italien, Piaggio entend permettre aux artisans marocains, commerçants et autres corps de métiers utilisant un véhicule utilitaire, de se développer en toute liberté.
Une offre adaptée au marché marocain
Les prix de la gamme démarrent à 49.900 dirhams pour les moteurs essence et 59.000 dirhams pour les moteurs diesel. Les trois véhicules (APE 50, APE TM et APE Classic) ont, en amont, été homologués par le Centre national d'essais et d'homologation du Maroc pour être conformes aux normes nationales de sécurité et de respect de l'environnement.
La DIMAC, distributrice au Maroc des deux roues Peugeot depuis 1950, garantit un service après-vente de qualité pour répondre au mieux aux aléas du quotidien de ses utilisateurs. Ces trois modèles sont disponibles en version pick-up, fourgonnette ou benne pour répondre aux spécificités de chaque métier. Ils sont donc personnalisables, fiables et consomment peu. L'APE peut même être conduit sans permis.
Afin de faire découvrir aux artisans et commerçants casablancais ces véhicules peu volumineux, et proposés à des prix très attractifs, la DIMAC à lancé, le 23 octobre dernier, la “Caravane Piaggio” dans les rues de Casablanca. Cette opération dure tout le mois de novembre
Source : www.aufaitmaroc.com par Mathieu Catinaud
Après 6 ans d'études à raison de 73500 DH par an, 20 lauréats diplômés de l'École Supérieure d'Architecture de Casablanca sont toujours dans l'expectative. Problème : à la fin de leur cursus, des certificats leur ont bien été décernés mais en fait ce sont juste des attestations d'un usage assez limité. En effet, ce document ne leur donne pas accès aux concours organisés pour le recrutement des architectes au sein des organismes publics. Ils ne peuvent pas non plus ouvrir leurs propres cabinets d'architecte et par voie de conséquence la porte de l'Ordre des architectes leur est irrémédiablement fermée. Et pourtant, «c'est la première école privée d'architecture au Maroc, fondée en octobre 2004 à la demande du gouvernement par des architectes de renom», ont-ils expliqué. Le besoin s'est fait sentir pour combler un déficit de l'ordre de 3000 architectes à l'horizon de 2020.
C'est un métier d'avenir et ils n'ont pas hésité longtemps à faire leur choix. Mais est-ce pour autant le meilleur ? Probablement pas. Et pour cause, en l'absence d'équivalence avec les diplômes étatiques, tous leurs projets restent suspendus. Ils se disent entièrement dans leur droit. «Notre école est le fruit d'un partenariat privé-public (du moins c'est ce qu'ils croient) et de ce fait l'État ne peut pas nous lâcher. Dès notre inscription, nous étions convaincus que notre situation sera régularisée dès l'obtention de nos diplômes.» Ils vont même jusqu'à assurer que les responsables de leur école ne sont nullement impliqués dans cette affaire. Des propos spontanés et peut-être naïfs. Mais qu'en est-il en réalité ? Le scénario n'est pas nouveau. Il ne fait que se reproduire. Peut-être ont-ils été bernés ? Ont-ils été victimes de publicités mensongères ? A qui la faute ? C'est la sempiternelle problématique des diplômes privés qui revient sur le tapis. Ont-ils été sacrifiés sur l'autel du lucre ? L'enseignement supérieur est un commerce juteux en fait. Bien des questions qui demeurent sans réponse.
En attendant, ils ont frappé à toutes les portes qui ne se sont pas toujours ouvertes. Mais à force d'abnégation, ils ont réussi à saisir Lahcen Daoudi, ministre de l'Enseignement supérieur qui leur a assuré que, pour le moment, il y a des priorités qui s'imposent et que leur problème n'en fait pas partie. Pas très encourageant ! Ils cherchent une issue à leur impasse du côté juridique à travers l'amendement de la loi 001 (article 4) relative à l'enseignement supérieur. Un processus qui risque d'être long même avec toute la bonne volonté dont les pouvoirs publics pourraient faire preuve.
La seule arme dont ils disposent, c'est de faire pression sur les responsables. Dans ce cadre, ceux parmi eux qui poursuivent leur cursus au sein de ladite école ont entamé une grève depuis 10 jours et comptent persévérer jusqu'à ce qu'on daigne prendre en considération leurs revendications fortes et légitimes, du reste. Un autre bras de fer qui s'annonce. Pour donner plus de légitimité à leurs demandes, ils ont même créé une association. Iront-ils jusqu'à faire preuve de logique et réalisme et attaquer les propriétaires de leur école pour dol ?
Source : www.libe.ma