Et voilà, c’en est fini pour 2010. Que ça passe vite !!! Il est des années où l’on ne voit pas le temps passé. Le temps a charrié les séquelles de cette année qui creuse sa tombe. C’est le temps des bilans, des réflexions, des perspectives. Ce sera au soir du 31 décembre 2010, le temps d’une seconde, juste après 23 h 59. Nous serons en 2011. Les uns et les autres se demanderont ce que l’on a fait de cette année. Au début de 2010, nous avons pris des engagements, des résolutions, qui sont encore soit enfouis dans nos mémoires soit couché, sur du papier au fond d’un tiroir. Il est temps de les ressortir. Voir ce qui a marché, ce qui ne l’a pas été et pourquoi cela n’a pas été. Les entreprises parleront de bilan financier et moral. Nous autres mortels, parlerons d’objectifs atteints ou non atteints. Le cycle de la vie est ainsi fait. Toute chose est née pour mourir. J’emprunte au philosophe. Avec le recul, l’on se prend à méditer. Une année vient de s’ajouter à mon âge. Je vieillis. Je prends de l’âge. Or, nous avons tant à donner et à recevoir de nos familles, de nos amis, de nos collègues que le temps nous semble si court ! Le chant du cygne nous rappelle Amadou Koné dans « les frasques d’Ebinto » : « les cygnes, quand vient leur instant de s’en aller du monde des vivants, entonnent leur chant. Ce chant est des plus mélodieux, beau mais triste. » 2010 a entonné son chant du cygne. 2011 s’ouvre à nous plein d’espoir et de vie. Le Nouvel Afrique comme à son habitude souhaite à ses chaleureux lecteurs, une bonne et heureuse année 2011. Que cette nouvelle année soit couronnée de succès, de santé, de paix, pour l’Afrique en général et pour chaque homme qui existe sur la terre des hommes. Bye bye 2010!…. Bienvenue à 2011.